Les vitrines du DRASSM

Retrouvez ici régulièrement une présentation thématique de Biens Culturels Maritimes issus des opérations gérées par le DRASSM. Collections anciennes remises à l'honneur, actualités des opérations archéologiques, musées ou réserves, expositions en cours dans différents lieux.

Plus d'information sur nos missions :

https://www.culture.gouv.fr/Sites-thematiques/Archeologie/Archeologie-sous-les-eaux

https://archeologie.culture.fr/archeo-sous-marine/fr/unique-et-indispensable-drassm

Contact : le-drassm@culture.gouv.fr

Le Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines (DRASSM) gère les dizaines de milliers de Biens Culturels Maritimes retrouvés en mer ou sur l'estran. En complément du site qui célèbre les 50 ans du DRASSM et de la recherche archéologique sous-marine, nous présentons ici quelques-uns des « trésors » gérés dans nos dépôts archéologiques ou dans des lieux de mise en dépôt (musées, collectivités...). Les informations sont extraites de la base de données du DRASSM, sous le logiciel ISHTAR.

ImageYatagan.jpg

Exposition Dieppe : épave du Yatagan

Le Yatagan est un torpilleur français de 58 m de long mis en chantier en 1897 puis lancé en en mars 1900. Il va par la suite être affecté dans différent endroit, tout d’abord dans l’escadre du Nord à Brest jusqu’en 1903 où il va passer à la défense mobile de Cherbourg avant d’être désarmé en 1909.

Celui-ci reprendra du service en 1910 dans la deuxième flottille de la Manche et de la mer du nord. En 1911 il sera remis aux torpilleurs de Cherbourg jusqu’en 1913. Lors de la première guerre mondial, il va être nommé bâtiment de commandement de la station Manche et Mer du nord puis en 1915 bâtiment de la deuxième escadrille de patrouille.

Le Yatagan fut coulé le 3 décembre 1916, en heurtant le navire anglais le Téviol qui naviguait sans feu et qui transportait des chevaux à destination de Dieppe. Le bateau coula 15 minutes après le choc. Une seule victime fut déploré ce jour-là.


Browse...

Ce site suit les recommandations de la CNIL pour le RGPD ; ne collectant aucune donnée personnelle, les cookies de suivi pour l'observation de la fréquentation collectés via le logiciel libre Matomo rentrent dans le cadre de l'exemption de consentement : page de référence CNIL. Vous pouvez néanmoins explicitement empêcher ce suivi.